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 park hyung shik ; any fear in my soul I'm letting go.

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Park Hyung Shik
Park Hyung Shik

the dad admin ❞

Pseudo : dday.
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park hyung shik ; any fear in my soul I'm letting go. Empty
MessageSujet: park hyung shik ; any fear in my soul I'm letting go.   park hyung shik ; any fear in my soul I'm letting go. EmptyVen 16 Déc - 23:23

featuring ok taec yeon (2pm)
park hyung shik
park hyung shik ; any fear in my soul I'm letting go. Dreamhigh021
bonjour bonjour. moi c'est park hyung shik mais tout le monde m'appelle hyung shik. je suis né(e) le 11 mai 1988 à séoul en corée du sud. oui, vous avez compris, je suis coréen et fière de l'être. j'ai donc 23 ans et à l'heure qu'il est je travaille en tant que directeur d'un nouveau projet pour la compagnie de mon père. vous devez savoir que je suis « en couple » avec song joo hee et je ne me cache pas d'être hétérosexuel. encore une chose, je fais partie des customers.
this is my tragic story
« Je vous dis que c’est votre fille monsieur... Bien sur vous pouvez toujours demander de passer des tests de paternité si vous en doutez. » Sa fille... il est papa ? Bien sur ce n’était normalement le pas le genre de nouvelle qu’on s’imagine venir vous faire annoncer alors que vous avez vingt ans, aucune copine stable à l’horizon et surtout pas par quelqu’un qui devait surement être un policier ou quelque chose du genre. Hyung Shik s’en fichait bien, d’autant plus qu’il ne voyait pas d’adorable poupon à l’horizon. « Je veux bien vous croire, mais je doute de ma capacité à enfanter des chapeaux ! » Incapable de supporter l’atmosphère tendue, il n’a jamais été capable après tout, il ne pouvait pas s’empêcher de plaisanter, ce qui ne semblait pas aider le pauvre officier qui se demandait qu’elle drôle d’énergumène il avait à faire. « Bien sur... mais en fait, votre fille est là l’hôpital... et la mère... » Naturellement, pas un moment s’écoula avant que le jeune homme l’interrompit : « L’hôpital ? Pourquoi elle est là ? » Certains pourrait se demander pourquoi il s’inquiétait autant pour une petite fille dont il avait ignoré l’existence jusqu’à ce que le policier lui annonce cinq minutes plus tôt, mais pour Hyung Shik, c’était plus que naturel. C’était sa fille après tout, bien que nous pourrions avoir des doutes quant à cette paternité, et de toute façon, il s’inquiétait pour tout le monde, c’était dans sa nature la plus profonde, au grand désarroi de son père avouons-le. D’ailleurs papa Park se tenait là, dans l’ombre, apprenant en même temps que son fils, les déboires qui allaient venir. L’officier continua néanmoins la lourde tâche qu’on lui avait assigné : « Un accident de voiture... un miracle qu’elle s’en soit tirée pratiquement indemne... par contre, la mère est décédée. » Miracle... indemne... décédée... Une foule de mots de suivait alors que Hyung Shik apprenait la triste nouvelle de la mort de ... quelqu’un. Certes, il n’avait pas trop à s’en faire, il n’avait aucune idée de qui était la mère, néanmoins, c’était la mère de sa fille, il ne pouvait pas rester indifférent. Si son père aurait bien voulu s’interposer et dire que ce n’était pas l’enfant de son fils, qu’il ne connaissait pas la mère de toute façon, c’était bien loin de la décision du jeune homme qui remercia, s’excusant d’avoir plaisanter considérant la lourde tâche que l’autre avait à faire avant de prendre son manteau et partir. Il avait besoin d’air après tout, il sentait déjà le regard de son père, le dégout que tout le monde ressentirait pour lui et il appréhendait, terriblement même.

Marchant vers il ne savait aucunement où, Hyung Shik ne savait pas quoi faire. Il était père, c’était une drôle de nouvelle à apprendre. Il ne s’y était pas attendu et le pire, c’était qu’il n’arrivait même pas à mettre le doigt sur la mère, il n’avait même aucune idée de son identité et pourtant elle était morte. Il prit finalement la décision d’aller voir sa fille à l’hôpital, bien sur ça risquait toujours d’être difficile considérant qu’il n’avait aucune idée du nom qu’elle devait avoir ou du nom de la défunte mère, mais, il voulait la voir et ce qu’il voulait, il l’avait. Ça avait toujours été le cas depuis son enfance, il avait été gâté par la vie, brillant et riche, il n’avait jamais eu droit à un ‘non’ pourquoi est-ce que ça commencerait maintenant ? Il mit un moment à s’y rendre, ne voulant pas embarquer dans une voiture pour rien au monde à cet instant précis. Encore heureux qu’il n’était pas trop loin de l’hôpital. Une fois là-bas, il eut à faire avec une infirmière bien trop têtue pour son propre bien. Capricieux dans le genre, il fronça les sourcils, tapa légèrement du pied. Il comprenait que c’était pour la sécurité de l’enfant, qu’il était peut-être un affreux pédophile qui voulait l’enlever pour la revendre pour dons d’organes ou peu importe, mais il n’était rien de tout ça et même s’il l’était il demandait seulement à la voir et à ce qu’on lui dise dans quel état elle était. Il eut finalement se droit, bien qu’accompagné d’un garde de sécurité prêt à le sortir à tout mouvement louche. Elle n’était pas très âgée, peut-être quelques mois, mais tout de suite, le jeune homme se sentit attaché à ce petit bout de chou, appelez ça l’instinct paternel si vous voulez.

Le temps passa et le jeune homme du faire les choses comme l’adulte qu’il était. Signer les papiers pour pouvoir s’occuper de sa fille, ce n’était pas sorcier, mais le pire était à venir. En effet, deux événements horribles l’attendaient paisiblement, comme quoi l’arrivé d’un enfant n’était pas suffisant. D’abord, le regard de ses parents, Hyung Shik savait qu’une discussion pointerait bientôt le bout de son nez, mais il ne comptait pas s’en occuper, d’autant plus qu’il y avait une autre priorité : les funérailles de la mère de l’enfant. Il n’était pas vraiment obligé d’y aller, mais à quelque part, il ne pouvait pas y échapper non plus, même s’il ne se souvenait toujours pas d’elle. Bien vêtu, il s’y présenta, adressant ses condoléances à qui le méritaient. Il avait laissé la gamine dans les mains des meilleures nounous, ne voulant pas lui imposer une vue aussi horrible alors qu’elle était si jeune. Ce qui l’empêcha néanmoins d’avoir une source de réconfort dans un lieu aussi hostile. Les commentaires fusaient et même s’il faisait comme si de rien était en discutant avec ce qui devait être l’oncle au vingtième degré de la fesse gauche du côté de la mère de la meilleure amie de la défunte, en gros quelqu’un d’inintéressant, il les entendait tous et ça lui faisait du mal, terriblement de mal. « C’est lui qui l’a mise enceinte, c’est possible qu’il l’ait violé. » S’il la connaissait ? Voilà une belle question de la part de l’oncle, répondant diplomatiquement comme on lui avait appris à faire, Hyung Shik ignora le premier commentaire qui lui vint à l’oreille. « Il parait que ce n’est pas un accident et qu’elle a essayé de se suicider à cause de lui. » Ce qu’il faisait dans la vie ? Encore une fois, remercions l’oncle pour une question anodine qui allégeait le tout. « J’espère qu’il s’en veut. » À défaut de pouvoir avoir une autre question de la part d’un oncle endormi, il ne put que penser que, oui, il s’en voulait. Il ne la connaissait peut-être pas tant que ça, son visage ne lui remémorant qu’une belle nuit passée avec elle, mais s’il avait causé sa mort, il s’en voulait. Tout ce qu’il savait, c’était qu’elle avait voulu lui envoyer une lettre qu’elle avait laissé dans son appartement, une lettre qui lui annonçait sa paternité. Il l’aurait su d’une manière ou d’une autre en somme.

Si les funérailles avaient été dures pour le jeune homme qui avait tenté d’ignorer tous les commentaires, il redoutait tout de même davantage la discussion qu’il allait sans doute avoir avec son père. Ce dernier ne s’était jamais gêné de faire tous les commentaires possibles et imaginables qui passaient de son choix de chaussettes quand il était gosse à sa dernière copine en règle. C’était à se demander pourquoi il n’y en avait jamais une qui avait voulu rester. Malgré tout ce qu’on pouvait croire l’opinion de son père avait toujours été importante pour Hyung Shik qui estimait grandement papa Park. Cela dit, même s’il savait que son père désapprouvait la présence de Sun Ah dans la vie de son fils, après tout c’était mauvais pour leur réputation et ça paraissait mal en soit, pourtant ce n’était pas le jeune homme qui allait faire une croix sur sa fille. Le temps avait passé et il s’était réellement attaché à cette petite fille, il ne comptait pas s’en séparer, pas du tout même. Elle était son rayon de soleil et celle pour qui il déplacerait ciel et terre. Néanmoins, la discussion devait venir et elle arriva alors que la petite était sur les genoux de son père et qu’elle jouait paisiblement avec la peluche lapin qu’il lui avait offert. « Tu ne peux pas la garder. » Toujours plein de tact, ce n’était pas très étonnant. « Je vais la garder, quoi que tu penses. » C’était bien la première fois qu’il défiait son père et il en était pratiquement fier. « Tu ne peux pas, tu ne sais même pas si elle est réellement ta fille. » Un soupir, rien de plus avant qu’il ne réponde avant de sortir de la pièce. « Et puis ? Ça changerait quoi, en fait ? c’est maintenant ma fille, ta petite fille par la même occasion. » Fuir, voilà ce qu’il avait fait, ce qu’il faisait toujours. Il n’était pas le plus lâche de tous, mais il n’était certainement pas le plus brave non plus, il détester tenir tête à son père comme ça. Par contre, test de paternité il y eut pour prouver à papa Park qu’il s’agissait bel et bien de la fille de Hyung Shik. Les résultats étant positif, on ne pouvait plus doué que cet adorable poupon était le sien.

Le tout mena finalement au départ du jeune homme, il quitta le domaine familial et se prit un appartement avec une demoiselle. Certes, il n’en avait pas besoin en soit, mais il jugeait qu’un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal et ça ne ferait pas plus de mal à Sun Ah. La petite fille ayant même une affection toute particulière pour cette demoiselle qu’elle considérait même comme sa mère, ce qui risquait probablement de créer des malentendus à la longue, mais bon. C’est d’ailleurs sa colocataire qui lui parla de la cha. Il lui avait souvent mentionné qu’il avait besoin d’une mère pour sa fille, autant pour la petite que pour l’image que ça projetait. Il n’avait ni l’envie, ni le temps pour chercher une véritable mère si bien que faire appel à la compagnie lui semblait logique. On lui donnait donc Song Joo Hee comme fakefriend. Une bonne complicité apparut rapidement entre les deux jeunes adultes et elle prit donc une place considérable dans le vie du jeune homme ainsi que dans celle de sa fille. Ayant les moyens de la payer à long terme, notamment grâce à l’argent qu’il faisait comme directeur de la branche télévision dans la compagnie de divertissement de son père, Hyung Shik voit en Joo Hee une solution facile qui ne lui demande pas beaucoup d’effort. Il aime bien être avec elle après tout !

Depuis, c’est un soucis de moins sur ses épaules ce qui ne l’empêche pas de s’en faire pour tout et pour rien. On ne parle même pas de si sa fille est moindrement malade, non dans ce cas, il remuerait tout pour qu’elle aille mieux, rien de moins. Très protecteur à son égard, tout comme il l’est vis-à-vis tout ceux qu’il apprécie particulièrement, il ne veut que le mieux pour elle et s’est toujours promis de ne pas agir comme son père l’a fait avec lui. Jeune homme brimé par ses parents, qui ne voulaient pas d’un fils rebelle, il n’élèvera jamais le ton et préfère fuir ou ignorer plutôt que combattre. Facile à vivre, c’est un bon ami, sans plus. Il n'accourra pas pour tout et pour rien à moins qu’il ne tienne réellement à vous, oui parce que c’est peut-être simple pour lui de se faire des bonnes connaissances et d’entretenir un bon réseau social, mais ses véritables amis ne sont pas si nombreux. Malgré ce qu’on peut croire en le voyant agir tel un insouciant ou comme un idiot, Hyung Shik est un jeune homme colérique... ou plus tôt il a beaucoup de haine en lui. Il ne sait pas comment l’exprimer, comment s’en débarrasser, mais elle reste là et dieu sait ce que ça pourrait faire le jour où tout cela éclatera. Pour l’instant, il se contente simplement de sourire et de tout prendre sous un bon angle, même s’il sait bien que ça ne durera pas. Il ne se sent plus nécessairement capable de tout prendre sans rien dire, il ne demande qu’à s’exprimer, qu’à affirmer cette haine, cette colère qui est en lui, mais même lorsqu’il est de mauvaise humeur, c’est loin de ce qu’il ressent au fond.


IN REAL LIFE
pseudo ↔ dday.
double-compte ↔ pas encore. o:
prédéfini ↔ techniquement oui. 'o'
comment avez-vous connu cha ? ↔ par un lutin ? mon petit doigt ? 'o' *sors*
fréquence de connexion ↔ tous les jours normalement ~
mot de fin ↔ //

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