bonjour bonjour. moi c'est Park Jae Sun mais tout le monde m'appelle Sunny. je suis né(e) le 20 novembre 1993 à Séoul. oui, vous avez compris, je suis coréen et fier de l'être. j'ai donc 18 ans et à l'heure qu'il est je travaille en tant que serveur dans un café. vous devez savoir que je suis célibataire et je ne me cache pas d'être homosexuel et en fait si ... je m'en cache. encore une chose, je fais partie des séoulites. |
this is my tragic story
Un petit gamin prétentieux. Un merdeux désagréable et irrespectueux. Voila ce que j’étais et il est fort possible que je le reste. Peut être qu’avec mon expérience, je deviendrai un peu plus mature et que j’éviterai de repousser tous ceux qui auront le courage de venir vers moi. J’ai apprit à mes dépends que ce n’était pas bon de se braquer, de ne faire confiance à personne, de douter de chaque parole.
J’ai toujours mentit pour me protéger, je n’ai jamais ouvert mon cœur sincèrement à quelqu’un. J’étais lâche tout simplement, la peur de souffrir, je ne la supportais pas, raison pour laquelle je suis toujours resté seul. Je n’ai pas eu d’enfance misérable alors je ne vois pas d’où me vient ce caractère pourri. Ah oui, j’ai un QI plus élevé que la normale, mais on ne dirait pas lorsque mon voit me faire le pitre et surtout faire la tête pour la moindre petite chose. Une vraie tête à claque, j’en suis conscient.
Je ne suis pas quelqu’un de facile à vivre. Je suis désagréable, malpolie. J’ai un langage qui laisse à désirer et je suis très susceptible. Je m’énerve à la moindre remarque.
Montrer mes faiblesses ? Jamais. Je suis bien trop fier pour ce genre de chose, tout comme pour demander de l’aide. Je refuse de m’excuser même quand je sais que j’ai tort.
Je suis toujours en train de faire le malin, de me vanter, de jouer les playboys. Pourtant je n’ai jamais embrassé quelqu’un, que ce soit garçon ou fille. Je n’ai absolument aucune expérience et j’en ai honte. Je ne sais pas comment m’y prendre avec les personnes qui me plaisent. Je fais croire ce que je veux à n’importe qui. Je ne sais pas d’où me vient ce talent, j’excelle réellement en ce qui concerne l’hypocrisie sociale. Je suis un sale gosse, je l’assume entièrement. Vraiment capricieux, je déteste que l’on me dise non.
Mais où sont mes qualités me direz vous. Je n’en ai aucune idée, je crois que je ne les ai pas encore trouvés. Mon intelligence peut être, qui m’a permit de réussir sans travailler puisque je n’allais presque jamais en cours.
Je ne suis pas très tendre, et je ne sais pas du tout m’y prendre avec quelqu’un qui pleure. Maladroit dans ce genre de situation, je préfère les éviter.
Je peux paraître froid mais je n’ose pas avouer que parfois un peu d’amour ne me ferait pas de mal. Je ne sais simplement pas comment l’accepter.
Je suis quelqu’un de confiance lorsqu’il s’agit de mes amis, je pourrais tout donner pour les gens que j’aime.
Dans le fond, je ne suis pas quelqu’un de méchant, je ne fais pas du mal pour le plaisir. J’ai juste peur de m’attacher. De tenir à quelqu’un qui finira par me laisser tomber.
Je vais essayer de changer un peu.
Mon histoire ?
Mon histoire n’a rien de spéciale d’après moi. Je n’ai pas à me plaindre en tout cas. D’après ma mère j’ai toujours été un enfant perturbant et un peu trop actif. Je crois que je lui en ai fait voir de toutes les couleurs. Comme la fois ou j’ai cassé son collier pour récupérer les perles et jouer aux billes. J’avais trois ans. Ou cette autre fois ou j’avais eu la bonne idée de me couper les cheveux tout seul après avoir vu une émission à la télé. J’avais six ans.
A l’école, j’ai souvent découpé mes affaires en même temps que je découpais les cartons. J’étais maladroit et je le suis toujours.
Mon père n’était plus la. Je ne me souviens même pas avoir pleuré lorsque j’ai apprit qu’il ne reviendrait jamais, en revanche, ma mère a eut beaucoup plus de mal à s’en remettre. Après tout, elle avait les souvenirs de toute une vie avec lui. Et moi qu’est ce que j’avais ? Quelques années à peine.
Je crois que c’est pour cette raison qu’elle est devenue ce qu’elle est aujourd’hui. Toujours inquiète, une vraie maman poule, trop étouffante, mais je l’aime comme ça au final.
J’ai grandit, mais mon caractère n’a pas vraiment changé malheureusement. Au collège, je n’étais pas très populaire, j’avais des bonnes notes sans ouvrir un seul livre. J’avais douze ans lorsque j’ai commencé à jouer du piano, de la guitare et du violon.
A mon entrée au lycée, je me suis beaucoup battu. J’ai grandit, j’avais déjà plus l’air d’un garçon et je ne supportais plus la moindre remarque sur mes airs efféminés. J’avais du succès auprès des filles mais j’ai toujours refusé leurs avances. Je n’ai jamais osé me lancer, par manque de confiance et surtout manque d’expérience. Peur de ne pas être à la hauteur. A cette même époque, je me suis rendu compte qu’un des garçons de ma classe me rendait fou. J’ai eu du mal à accepter cette attirance si fort pour lui.
Je faisais le malin, m’inventait des petites amies imaginaires. Un vrai arnaqueur. Je me suis souvent prit la tête avec mes professeurs et les commentaires sur mon comportement n’étaient vraiment pas bon.
Je n'assume pas ce que je suis et je préfère le cacher en jouant les playboys. Je continue d'aller à l'école mais je passe la plupart de mon temps dans le café ou je travaille.
En ce qui concerne cette fameuse agence, je ne connais pas grand chose, je ne m'y suis jamais intéressé. Peut être qu'un jour, j'y ferai un tour, histoire de satisfaire ma curiosité.
J’ai toujours mentit pour me protéger, je n’ai jamais ouvert mon cœur sincèrement à quelqu’un. J’étais lâche tout simplement, la peur de souffrir, je ne la supportais pas, raison pour laquelle je suis toujours resté seul. Je n’ai pas eu d’enfance misérable alors je ne vois pas d’où me vient ce caractère pourri. Ah oui, j’ai un QI plus élevé que la normale, mais on ne dirait pas lorsque mon voit me faire le pitre et surtout faire la tête pour la moindre petite chose. Une vraie tête à claque, j’en suis conscient.
Je ne suis pas quelqu’un de facile à vivre. Je suis désagréable, malpolie. J’ai un langage qui laisse à désirer et je suis très susceptible. Je m’énerve à la moindre remarque.
Montrer mes faiblesses ? Jamais. Je suis bien trop fier pour ce genre de chose, tout comme pour demander de l’aide. Je refuse de m’excuser même quand je sais que j’ai tort.
Je suis toujours en train de faire le malin, de me vanter, de jouer les playboys. Pourtant je n’ai jamais embrassé quelqu’un, que ce soit garçon ou fille. Je n’ai absolument aucune expérience et j’en ai honte. Je ne sais pas comment m’y prendre avec les personnes qui me plaisent. Je fais croire ce que je veux à n’importe qui. Je ne sais pas d’où me vient ce talent, j’excelle réellement en ce qui concerne l’hypocrisie sociale. Je suis un sale gosse, je l’assume entièrement. Vraiment capricieux, je déteste que l’on me dise non.
Mais où sont mes qualités me direz vous. Je n’en ai aucune idée, je crois que je ne les ai pas encore trouvés. Mon intelligence peut être, qui m’a permit de réussir sans travailler puisque je n’allais presque jamais en cours.
Je ne suis pas très tendre, et je ne sais pas du tout m’y prendre avec quelqu’un qui pleure. Maladroit dans ce genre de situation, je préfère les éviter.
Je peux paraître froid mais je n’ose pas avouer que parfois un peu d’amour ne me ferait pas de mal. Je ne sais simplement pas comment l’accepter.
Je suis quelqu’un de confiance lorsqu’il s’agit de mes amis, je pourrais tout donner pour les gens que j’aime.
Dans le fond, je ne suis pas quelqu’un de méchant, je ne fais pas du mal pour le plaisir. J’ai juste peur de m’attacher. De tenir à quelqu’un qui finira par me laisser tomber.
Je vais essayer de changer un peu.
Mon histoire ?
Mon histoire n’a rien de spéciale d’après moi. Je n’ai pas à me plaindre en tout cas. D’après ma mère j’ai toujours été un enfant perturbant et un peu trop actif. Je crois que je lui en ai fait voir de toutes les couleurs. Comme la fois ou j’ai cassé son collier pour récupérer les perles et jouer aux billes. J’avais trois ans. Ou cette autre fois ou j’avais eu la bonne idée de me couper les cheveux tout seul après avoir vu une émission à la télé. J’avais six ans.
A l’école, j’ai souvent découpé mes affaires en même temps que je découpais les cartons. J’étais maladroit et je le suis toujours.
Mon père n’était plus la. Je ne me souviens même pas avoir pleuré lorsque j’ai apprit qu’il ne reviendrait jamais, en revanche, ma mère a eut beaucoup plus de mal à s’en remettre. Après tout, elle avait les souvenirs de toute une vie avec lui. Et moi qu’est ce que j’avais ? Quelques années à peine.
Je crois que c’est pour cette raison qu’elle est devenue ce qu’elle est aujourd’hui. Toujours inquiète, une vraie maman poule, trop étouffante, mais je l’aime comme ça au final.
J’ai grandit, mais mon caractère n’a pas vraiment changé malheureusement. Au collège, je n’étais pas très populaire, j’avais des bonnes notes sans ouvrir un seul livre. J’avais douze ans lorsque j’ai commencé à jouer du piano, de la guitare et du violon.
A mon entrée au lycée, je me suis beaucoup battu. J’ai grandit, j’avais déjà plus l’air d’un garçon et je ne supportais plus la moindre remarque sur mes airs efféminés. J’avais du succès auprès des filles mais j’ai toujours refusé leurs avances. Je n’ai jamais osé me lancer, par manque de confiance et surtout manque d’expérience. Peur de ne pas être à la hauteur. A cette même époque, je me suis rendu compte qu’un des garçons de ma classe me rendait fou. J’ai eu du mal à accepter cette attirance si fort pour lui.
Je faisais le malin, m’inventait des petites amies imaginaires. Un vrai arnaqueur. Je me suis souvent prit la tête avec mes professeurs et les commentaires sur mon comportement n’étaient vraiment pas bon.
Je n'assume pas ce que je suis et je préfère le cacher en jouant les playboys. Je continue d'aller à l'école mais je passe la plupart de mon temps dans le café ou je travaille.
En ce qui concerne cette fameuse agence, je ne connais pas grand chose, je ne m'y suis jamais intéressé. Peut être qu'un jour, j'y ferai un tour, histoire de satisfaire ma curiosité.