bonjour bonjour. moi c'est Masaki Tsukasa mais tout le monde m'appelle Saki. je suis né(e) le 25 novembre 1986 à Tokyo, Japon.. oui, vous avez compris, je suis Japonais et fière de l'être. j'ai donc 24 ans et à l'heure qu'il est je travaille en tant que danseur-barman. vous devez savoir que je suis célibataire, libre comme l'air et je ne me cache pas d'être bisexuel. encore une chose, je fais partie des séoulites. |
this is my tragic story
Chaque endroit a une histoire. Cette histoire peut être jolie, ou tragique, mais elle dépend surtout des personnes qui l'écrivent. Chacun possède un lieu, donc, ou il a laissé un bout de sa personne. Pour Masaki, il s'agit du cabaret Le Château, dans le centre de Tokyo. Dans le cœur d'Akihabara, cet endroit au nom chatoyant, était coincé entre une bibliothèque imposante et une épicerie.
L'entrée ne payait pas de mine. Et de loin, on aurait pu penser qu'il ne s'agissait que d'un établissement ou les junkies se réunissaient le soir pour danser, s'amuser, etc...
Quand on y pénétrait, pourtant, l'endroit était magique. Une grande scène abritait nombre de numéros qui dépassaient l'entendement, et qui ravissaient les clients. Les propriétaires se trouvaient etre les parents de Tsukasa. Des personnes adorables. Sa mère était une danseuse, son père s'occupait de veiller à ce que leurs clients ne manquent de rien, et ils étaient particulièrement appréciés.
Vint bientôt s'ajouter un minuscule bébé, à cette grande famille. Avec ses grands yeux de biches et son intelligence, quand il grandit, il ne tarda pas à voler le cœur des femmes, comme des hommes.
D'ailleurs, il n'était pas un enfant difficile. Il se sentait comme un poisson dans l'eau au cabaret, et ne tarda pas à apprendre les différentes disciplines qui y étaient représentées. Il applaudissait les clowns, admirait les contorsionnistes, mais ce qui le fascinait le plus, c'était les danseuses et les danseurs. Il ne tarda pas de supplier ses parents de le laisser prendre des cours, et il s'avéra qu'il était particulièrement douées.
Les années passèrent, et Masaki avait fini par rejoindre officiellement la troupe. Ces années furent, et de loin, les plus mémorables de toute sa vie. Passionné, il ne demandait rien sinon pouvoir danser. Lorsque les choses allaient moins bien pour ses parents, il n'hésitait pas à négliger ses études pour travailler.
De toute facon, l'école, c'était pas son truc.
C'est lorsqu'il eut 16 ans que les choses basculèrent. Un soir, alors qu'il allait monter sur scène, un incendie volontaire fut déclenché. On ne trouva d'ailleurs jamais le coupable. Mais les journaux relataient des faits terribles. Le feu avait piégé tous les clients et ses parents à l'intérieur. Ils périrent tous dans les flammes. Et par un miracle insensé, puisqu'il se trouvait près de la porte de sortie, il fut le seul que les pompiers purent sauver.
Il passa plusieurs semaines à l’hôpital pour ses brûlures dont il garde la trace sur son visage et son torse. Dans un état de choc, le jeune homme, une fois libéré se lanca dans la recherche frénétique d'un coupable.
Lorsque la police déclara qu'il s'agissait d'un accident, ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Masaki décida de renier totalement les forces de l'ordre jusqu'à la fin de sa vie. Incapable de rester plus longtemps dans sa ville natale, il décida d'accepter la proposition d'un ami d'aller s'installer à Séoul avec lui. Tout pour échapper aux souvenirs. A 22 ans, avec un diplôme du conservatoire, il débarqua dans un pays inconnu et hostile.
Il pensait pouvoir reprendre une vie normale, jusqu'à ce qu'il rencontre un vieil ami de son père, qui lui révéla que son père avait de gros problèmes avec un groupe de criminels coréens dirigé par un homme riche et despotique. Il décida qu'il était de son devoir de se venger, et du jour au lendemain s'appliqua à devenir une sorte d'arnaqueur spécialisé dans les riches hommes corrompus. Jusqu'à ce qu'il trouve l'assassin de ses parents et de tous les gens qu'il aimait, il ne pourrait trouver la paix.
Quant à la cupid's heaven agency, il la surveille de près. Il est certain que quelque chose de pas net s'y déroule. Il ne saurait dire quoi mais est bien décidé à le découvrir.
« Masaki ? C'est une vraie tète brûlée. J'ai encore jamais vu quelqu'un défier aussi ouvertement la police et tout ce qui représente un minimum l'autorité. Il déteste plus que tout rester dans le flou, et est capable de tout pour savoir la vérité. Il se bat extrêmement bien, comme il danse, mais en général, il préfère réfléchir plutôt que foncer dans le tas. C'est un calculateur, d'ailleurs, il est super intelligent, croyez moi. Et séducteur, aussi, je crois que c'est son arme principale, pour ce qu'il fait, meme si je n'ose pas trop imaginer ce que c'est. C'est un ami loyal. Peut être un peu trop inquiet sur les bords et légèrement trop protecteur, mais c'est compréhensible, vu ce qu'il a vécu.
Quand j'en parle, il me regarde comme si j'avais perdu la tete. En fait, je pense que le choc lui a fait perdre la mémoire, mais parfois, je l'entend pleurer dans son sommeil et je sais qu'au fond, la mémoire ne peut que difficilement être combattue. Quand je le vois souffrir comme ca quand il essaye de se battre contre les souvenirs, je me dis qu'elle peut etre reculée, mais pas effacée. »
L'entrée ne payait pas de mine. Et de loin, on aurait pu penser qu'il ne s'agissait que d'un établissement ou les junkies se réunissaient le soir pour danser, s'amuser, etc...
Quand on y pénétrait, pourtant, l'endroit était magique. Une grande scène abritait nombre de numéros qui dépassaient l'entendement, et qui ravissaient les clients. Les propriétaires se trouvaient etre les parents de Tsukasa. Des personnes adorables. Sa mère était une danseuse, son père s'occupait de veiller à ce que leurs clients ne manquent de rien, et ils étaient particulièrement appréciés.
Vint bientôt s'ajouter un minuscule bébé, à cette grande famille. Avec ses grands yeux de biches et son intelligence, quand il grandit, il ne tarda pas à voler le cœur des femmes, comme des hommes.
D'ailleurs, il n'était pas un enfant difficile. Il se sentait comme un poisson dans l'eau au cabaret, et ne tarda pas à apprendre les différentes disciplines qui y étaient représentées. Il applaudissait les clowns, admirait les contorsionnistes, mais ce qui le fascinait le plus, c'était les danseuses et les danseurs. Il ne tarda pas de supplier ses parents de le laisser prendre des cours, et il s'avéra qu'il était particulièrement douées.
Les années passèrent, et Masaki avait fini par rejoindre officiellement la troupe. Ces années furent, et de loin, les plus mémorables de toute sa vie. Passionné, il ne demandait rien sinon pouvoir danser. Lorsque les choses allaient moins bien pour ses parents, il n'hésitait pas à négliger ses études pour travailler.
De toute facon, l'école, c'était pas son truc.
C'est lorsqu'il eut 16 ans que les choses basculèrent. Un soir, alors qu'il allait monter sur scène, un incendie volontaire fut déclenché. On ne trouva d'ailleurs jamais le coupable. Mais les journaux relataient des faits terribles. Le feu avait piégé tous les clients et ses parents à l'intérieur. Ils périrent tous dans les flammes. Et par un miracle insensé, puisqu'il se trouvait près de la porte de sortie, il fut le seul que les pompiers purent sauver.
Il passa plusieurs semaines à l’hôpital pour ses brûlures dont il garde la trace sur son visage et son torse. Dans un état de choc, le jeune homme, une fois libéré se lanca dans la recherche frénétique d'un coupable.
Lorsque la police déclara qu'il s'agissait d'un accident, ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Masaki décida de renier totalement les forces de l'ordre jusqu'à la fin de sa vie. Incapable de rester plus longtemps dans sa ville natale, il décida d'accepter la proposition d'un ami d'aller s'installer à Séoul avec lui. Tout pour échapper aux souvenirs. A 22 ans, avec un diplôme du conservatoire, il débarqua dans un pays inconnu et hostile.
Il pensait pouvoir reprendre une vie normale, jusqu'à ce qu'il rencontre un vieil ami de son père, qui lui révéla que son père avait de gros problèmes avec un groupe de criminels coréens dirigé par un homme riche et despotique. Il décida qu'il était de son devoir de se venger, et du jour au lendemain s'appliqua à devenir une sorte d'arnaqueur spécialisé dans les riches hommes corrompus. Jusqu'à ce qu'il trouve l'assassin de ses parents et de tous les gens qu'il aimait, il ne pourrait trouver la paix.
Quant à la cupid's heaven agency, il la surveille de près. Il est certain que quelque chose de pas net s'y déroule. Il ne saurait dire quoi mais est bien décidé à le découvrir.
« Masaki ? C'est une vraie tète brûlée. J'ai encore jamais vu quelqu'un défier aussi ouvertement la police et tout ce qui représente un minimum l'autorité. Il déteste plus que tout rester dans le flou, et est capable de tout pour savoir la vérité. Il se bat extrêmement bien, comme il danse, mais en général, il préfère réfléchir plutôt que foncer dans le tas. C'est un calculateur, d'ailleurs, il est super intelligent, croyez moi. Et séducteur, aussi, je crois que c'est son arme principale, pour ce qu'il fait, meme si je n'ose pas trop imaginer ce que c'est. C'est un ami loyal. Peut être un peu trop inquiet sur les bords et légèrement trop protecteur, mais c'est compréhensible, vu ce qu'il a vécu.
Quand j'en parle, il me regarde comme si j'avais perdu la tete. En fait, je pense que le choc lui a fait perdre la mémoire, mais parfois, je l'entend pleurer dans son sommeil et je sais qu'au fond, la mémoire ne peut que difficilement être combattue. Quand je le vois souffrir comme ca quand il essaye de se battre contre les souvenirs, je me dis qu'elle peut etre reculée, mais pas effacée. »