bonjour bonjour. moi c'est bae lucia mais tout le monde m'appelle lu. je suis né(e) le 11 janvier à sydney. oui, vous avez compris, je suis australienne et fière de l'être. j'ai donc 20 ans et à l'heure qu'il est je travaille en tant que étudiante en journalisme. vous devez savoir que je suis en couple avec un fakefriend et je ne me cache pas d'être bisexuelle. encore une chose, je fais partie des customers. |
this is my tragic story
« La vie. Le fait d’exister, ou le temps qui s’écoule entre la naissance à la mort. Pour certains, cette durée de vie, ce temps qui s’écoule, n’est autre que quelque chose dont on ne se rend pas compte ; la journée commence et se finit, les aiguilles de l’horloge continuent de tourner tandis que les activités s’enchainent ou que l’ennuie règne. Pour d’autres, c’est précieux et sacré. Il ne faut rien gâché, chaque minute compte, profiter est le mot d’ordre et même si on a toute une vie, regretter est une chose à éviter. Entre les deux il y a ceux qui vivent comme si la mort les pourchassait et que le lendemain sera le dernier jour. D’un côté il y’a une part de vrai, nous ne sommes jamais à l’abri d’un accident de voiture ou d’une soudaine météorite qui viendrait exploser notre bâtiment. Dans ce cas là, avoir vingt quatre heure pour faire toutes les choses que nous avons envie sous prétexte que la mort nous sauteras à la gueule demain, premièrement c’est déprimant et stressant et deuxièmement impossible. Pour ma part, j’ai envie de visiter Moscou, Berlin et l’Afrique – c’est le top trois, sinon, la liste est longue -, j’ai toujours rêvé de faire de l’aviation, de monter dans une gondole à Venise et de tuer une mouche de mes propres mains. J’ai l’air folle, non ? Bien, je fais partit de la deuxième catégorie de personnes, celles qui profitent de la vie sans se soucier du temps et qui font un maximum de choses en s’éclatant un maximum… Mon père est astronome et ma mère peintre et infirmière. Ils sont passionnés, et ça m’a atteinte. Tous les soirs pour m’endormir, plutôt que de me lire des comptes de fées et de princes, mon père me racontait l’histoire des constellations, des étoiles et du ciel. Ma chambre était recouverte de peintures de ma mère. J’ai grandit dans leur passion, et ça m’a donné envie de m’en trouvé une de mon côté. Aujourd’hui, plutôt que de me focaliser sur une seule chose, je découvre un peu de tout, partout dans le monde. Le sport, la nature, les voyages, l’art… »
Les gros traits ont été tracés, vous connaissez le principal sur Lucia. Cette demoiselle est née à Sydney, son père est coréen et sa mère australienne ; ils se sont rencontrés grâce aux peintures de la mère dans les rues mais qu’importe. C’est vers l’âge de trois ans que Lucia à commencé à faire des allers-retours entre Séoul et Sydney, c’est de là que vient sa passion pour le voyage, elle en visitait toujours un peu plus et harcelait toujours ses parents pour faire des escales. Sa scolarité à principalement été faite à Séoul mais aujourd’hui encore elle a du mal avec la culture coréenne, surtout pour le respect, à cause de ça elle est souvent prise pour une rebelle. En raison de son attirance pour la vie, elle c’est développé un caractère plus positif qu’autre chose. Même si elle s’énerve souvent parce que son cours de taekwondo à été annulé ou que son avion à du retard, elle n’est pas du genre à pété les plombs pour un malentendu, elle est juste agressive quand il faut, souvent… les trois quarts du temps. Pleine d’énergie, Lucia n’est jamais à bout de ses forces et trouve toujours une ressource d’énergie pour faire quelque chose qui lui passe par la tête en fin de journée, comme un petit tour en boîte ou des fêtes improvisées à l’autre bout de la ville. Fille unique, rares ne sont pas les moments où Lucia ne fait pas part de son égoïsme. Elle a toujours été gâtée dans son enfance, et le sera surement jusqu’aux derniers souffles de ses parents. Enfant elle préférait s’occuper de ses passions et trouver des passes-temps toute seule plutôt que d’avoir à se coltiner des gamins de son âge pour jouer à la balançoire. Ce n’était pas un petit génie, et elle n’était pas insociable mais elle n’avait pas vraiment d’amis. Elle n’avait pas et surtout ne voulait pas s’occuper des autres et de leurs petits problèmes, son égoïsme est né comme ça. La demoiselle était surtout beaucoup plus mature que ses camarades; à neuf ans elle cherchait déjà le pourquoi du comment de l'homme et de la terre. Bien sûr que plus tard elle à commencé à songé à se créer une vie sociale, encore heureux d'ailleurs, si elle définit la vie comme étant une partie de plaisir dont il faut profiter.
Même si elle a l'air de vivre dans le rose et ne pas se soucier des problèmes de la vie, Lucia ne peut pas nier le fait qu'elle est souvent négative dût à sa fierté; pour faire court elle ne se prend pas pour de la merde. Il y a tout de même une limite qui fait que ça ne déborde pas sur le narcissisme, mais elle a tendance à adorer ce qu'elle fait et louanger son égo. On n'en croise pas à tous les coins de rues, des personnes qui expérimentent tout et rien, font trois sports à la fois et rêves de choses complètements différentes, juste pour découvrir et s'amuser. C'est une des raisons pour laquelle la demoiselle se qualifie comme étant " spéciale et unique. " A force de se voir comme ça, ce n'est pas étonnant si vous la rabaisser et qu'elle monte tout de suite sur ses grands chevaux et ses ergots. Indéniablement arrogante mais horriblement gentille; on pourrait qualifier Lucia comme un " cocktail irrésistible ", une passionnée de la vie qui ne penses qu'à son égo et qui s'énerve au quart de tour dès qu'on lui fait une réflexion. Ceci dit vous pouvez vous approchez, elle ne mort pas et adore partager - avec modération - sa passion avec ses proches. D'ailleurs, depuis peu, la demoiselle c'est trouvé une autre passion, plutôt " hors du commun " mais ça l'occupe, du moins, ça devrait... L'amour ! Oh non, ce n'est pas ça sa passion, mais comme tout être humain, il y a ce petit truc que l'on ressent envers un autre être humain. Et qui finit en un gros truc ignoble qui nous ôte le sourire pendant des jours pour finalement être une partie de notre histoire. Elle a connut ça, ce fut une histoire compliquée et pour se remettre de ses émotions elle a décidé d'utiliser un peu de la fortune de ses parents pour se payer un " fakefriend ". Elle pensait que ça serait drôle et que ça serait un ami en plus dans son répertoire, que ça lui ferait oubliés ses anciens conflits avec l'amour... Mais il y a une chose qu'elle ne savait pas, c'est que la source de ce conflit est fakefriend et que... THE END.
Les gros traits ont été tracés, vous connaissez le principal sur Lucia. Cette demoiselle est née à Sydney, son père est coréen et sa mère australienne ; ils se sont rencontrés grâce aux peintures de la mère dans les rues mais qu’importe. C’est vers l’âge de trois ans que Lucia à commencé à faire des allers-retours entre Séoul et Sydney, c’est de là que vient sa passion pour le voyage, elle en visitait toujours un peu plus et harcelait toujours ses parents pour faire des escales. Sa scolarité à principalement été faite à Séoul mais aujourd’hui encore elle a du mal avec la culture coréenne, surtout pour le respect, à cause de ça elle est souvent prise pour une rebelle. En raison de son attirance pour la vie, elle c’est développé un caractère plus positif qu’autre chose. Même si elle s’énerve souvent parce que son cours de taekwondo à été annulé ou que son avion à du retard, elle n’est pas du genre à pété les plombs pour un malentendu, elle est juste agressive quand il faut, souvent… les trois quarts du temps. Pleine d’énergie, Lucia n’est jamais à bout de ses forces et trouve toujours une ressource d’énergie pour faire quelque chose qui lui passe par la tête en fin de journée, comme un petit tour en boîte ou des fêtes improvisées à l’autre bout de la ville. Fille unique, rares ne sont pas les moments où Lucia ne fait pas part de son égoïsme. Elle a toujours été gâtée dans son enfance, et le sera surement jusqu’aux derniers souffles de ses parents. Enfant elle préférait s’occuper de ses passions et trouver des passes-temps toute seule plutôt que d’avoir à se coltiner des gamins de son âge pour jouer à la balançoire. Ce n’était pas un petit génie, et elle n’était pas insociable mais elle n’avait pas vraiment d’amis. Elle n’avait pas et surtout ne voulait pas s’occuper des autres et de leurs petits problèmes, son égoïsme est né comme ça. La demoiselle était surtout beaucoup plus mature que ses camarades; à neuf ans elle cherchait déjà le pourquoi du comment de l'homme et de la terre. Bien sûr que plus tard elle à commencé à songé à se créer une vie sociale, encore heureux d'ailleurs, si elle définit la vie comme étant une partie de plaisir dont il faut profiter.
Même si elle a l'air de vivre dans le rose et ne pas se soucier des problèmes de la vie, Lucia ne peut pas nier le fait qu'elle est souvent négative dût à sa fierté; pour faire court elle ne se prend pas pour de la merde. Il y a tout de même une limite qui fait que ça ne déborde pas sur le narcissisme, mais elle a tendance à adorer ce qu'elle fait et louanger son égo. On n'en croise pas à tous les coins de rues, des personnes qui expérimentent tout et rien, font trois sports à la fois et rêves de choses complètements différentes, juste pour découvrir et s'amuser. C'est une des raisons pour laquelle la demoiselle se qualifie comme étant " spéciale et unique. " A force de se voir comme ça, ce n'est pas étonnant si vous la rabaisser et qu'elle monte tout de suite sur ses grands chevaux et ses ergots. Indéniablement arrogante mais horriblement gentille; on pourrait qualifier Lucia comme un " cocktail irrésistible ", une passionnée de la vie qui ne penses qu'à son égo et qui s'énerve au quart de tour dès qu'on lui fait une réflexion. Ceci dit vous pouvez vous approchez, elle ne mort pas et adore partager - avec modération - sa passion avec ses proches. D'ailleurs, depuis peu, la demoiselle c'est trouvé une autre passion, plutôt " hors du commun " mais ça l'occupe, du moins, ça devrait... L'amour ! Oh non, ce n'est pas ça sa passion, mais comme tout être humain, il y a ce petit truc que l'on ressent envers un autre être humain. Et qui finit en un gros truc ignoble qui nous ôte le sourire pendant des jours pour finalement être une partie de notre histoire. Elle a connut ça, ce fut une histoire compliquée et pour se remettre de ses émotions elle a décidé d'utiliser un peu de la fortune de ses parents pour se payer un " fakefriend ". Elle pensait que ça serait drôle et que ça serait un ami en plus dans son répertoire, que ça lui ferait oubliés ses anciens conflits avec l'amour... Mais il y a une chose qu'elle ne savait pas, c'est que la source de ce conflit est fakefriend et que... THE END.